L’une des étapes essentielles pour doper la croissance de son entreprise, c’est de connaître parfaitement le marché afin de s’y adapter. Puisque le marché et les consommateurs évoluent sans cesse, il faut rester vigilant et rester au courant de tout changement dans ces domaines. C’est la seule façon pour pouvoir adapter son modèle économique au marché puisque de cette manière, on peut développer de nouveaux produits ou de nouveaux services, plus appropriés aux demandes des consommateurs et distribuer autrement, si le contexte l’exige. Pour augmenter la vente et gagner en notoriété, il est capital d’utiliser au mieux le numérique. Il faut parfois apprendre des autres entreprises, voir quelles actions elles mettent en œuvre pour se servir au mieux des outils numériques.
Une autre façon de doper la croissance d’une entreprise, c’est d’adapter le management. Tout patron doit faire preuve de plus d’empathie, de souplesse et d’implication pour être plus efficace et pour que les employés le soient également. Lorsque ces derniers se sentent compris, pris en considération et écoutés, cela impacte sur leur productivité, gage de croissance pour une entreprise. En adoptant une politique qui plaît aux employés, un chef d’entreprise a davantage de chances d’avoir des employés plus motivés, plus engagés, plus performants. L’innovation participative s’avère également importante pour booster la croissance d’une entreprise, lorsque clients et fournisseurs sont impliqués dans le développement de nouveaux processus.
Divorcer à Nancy peut se faire selon quatre modalités différentes, en fonction de votre situation :
Quel que soit votre cas, rapprochez-vous d’un avocat spécialisé dans le divorce à Nancy, par exemple le cabinet Helene Laroche, pour profiter de conseils judicieux sur la procédure adaptée à votre situation. L’accompagnement d’un avocat vous permet de réduire aussi bien les délais que les dépenses pour divorcer à Nancy.
Le coût d’un divorce à Nancy dépend de nombreux facteurs comme :
Il faut prévoir approximativement au minimum entre 1500 euros et 2500 euros pour divorcer à Nancy. Ce montant comprend les frais de justice et les honoraires d’avocat, qui varient selon la complexité du dossier.
Pour divorcer rapidement et sans trop de frais à Nancy, les avocats conseillent généralement d’opter pour un divorce à l’amiable, par consentement mutuel. Cette procédure, plus simple, permet de limiter les coûts tout en préservant la bonne entente entre époux. Un avocat expert en divorce à Nancy vous guide vers la solution la plus avantageuse.
Si vous n’avez pas les moyens de gérer seul les dépenses qu’implique la procédure, voyez si vous êtes éligibles à certaines aides financières. Pensez ainsi à :
Des aides spécifiques permettent d’alléger votre quotidien et de faciliter le financement de votre divorce, sous conditions :
Enfin, si vous possédez une épargne salariale placée dans un Plan d’Épargne Entreprise (PEE), vous pouvez exceptionnellement demander à percevoir par anticipation ces sommes pour financer votre divorce à Nancy. Cette démarche est cependant impossible si vous détenez un PERCO ou un PER collectif.
Engager un avocat expert en divorce à Nancy est essentiel pour élaborer la meilleure stratégie qui vous permet de défendre efficacement vos intérêts. Son accompagnement est indispensable pour effectuer les démarches dans les règles. Il vous représente également devant le Juge aux Affaires Familiales si nécessaire.
Divorcer à Nancy constitue une épreuve, sur le plan émotionnel, mais aussi juridique et matériel. L’assistance d’un avocat spécialisé dans le divorce à Nancy vous permet :
Renseignez-vous auprès de l’Ordre des Avocats de Nancy pour obtenir une liste d’avocats spécialisés en divorce sur Nancy et sa région ou en droit de la famille.
Optez de préférence pour un avocat expert dans le divorce à l’amiable. Basez-vous sur son expérience en droit de la famille et sa capacité d’écoute.
Tenez compte de sa réputation et la transparence de son devis.
La possibilité d’obtenir un financement dépend avant tout de vos antécédents sur le plan professionnel. Aucun investisseur ne souhaite prendre des risques inutiles qui n’aboutissent à rien. De ce fait, vous devez faire attention à faire preuve de diligence avant de demander de l’aide financière. Vous devez aussi avoir une expérience réussie dans le secteur d’activité que vous choisirez. D’ailleurs, vous pourrez être amené à expliquer qui vous a poussé vers cette idée.
Il est primordial d’assurer la viabilité de votre projet pour espérer convaincre les investisseurs. Il ne faut pas oublier que le prêt peut faire partie intégrante de votre stratégie globale d’entreprise. Vous devez, par exemple, expliquer le choix de l’emplacement de votre future société. À cela s’ajoute la méthode que vous comptez utiliser pour attirer les clients, ainsi que la recherche de fournisseurs. Les investisseurs pourront même demander le nombre de clients que vous comptez convaincre tous les jours.
Les investisseurs exigent certainement des projections financières détaillées pendant 1 ou 2 ans. Vous devez vous montrer convaincant sur ce point. En effet, vos potentiels financeurs ne prendront pas le risque de faire un placement dans un projet avec une faible rentabilité. N’oubliez pas que cela peut avoir un impact sur la solidité financière de votre entreprise. Il faudra aussi que vous présentez une bonne cote de crédit personnelle. Les établissements bancaires peuvent se montrer inflexibles sur ce point.
Aucun investisseur n’acceptera de vous prêter de l’argent pour lancer votre projet sans demander des garanties. Chaque investisseur qui décidera de financer votre projet peut même vous demander de signer un cautionnement personnel. Ce document engagera votre responsabilité sur le prêt que vous ferez. Une autre forme de garantie concerne l’apport financier que vous pouvez apporter pour la réalisation du projet. Plus votre apport sera élevé, plus vous aurez de la chance de gagner un financement.
Si vous êtes en quête d’une franchise rentable, vous devez identifier les secteurs d’activité qui vous intéressent. Voyez d’abord si la société mère a déjà fait ses preuves pour vous assurer que le point de vente que vous allez tenir peut aussi avoir un potentiel de croissance ou non.
Pour trouver une franchise rentable, vous devez aussi analyser :
• Les tendances du marché.
• Vos concurrents.
• La demande des consommateurs.
Si vous voulez investir dans une franchise, vous devez tenir compte de quelques critères pour estimer sa rentabilité. Posez-vous alors les bonnes questions :
Certains secteurs et marchés de niche sont plus fructueux que d’autres. C’est le cas de :
• L’ameublement des propriétés,
• L’immobilier,
• L’automobile,
• La restauration.
Veuillez toutefois éviter ceux qui ne deviennent tendances que quelques instants.
Vous pouvez vous faire une idée sur ce point en :
• Regardant les avis des consommateurs sur le web.
• Vous rendant sur quelques points de vente des franchisés pour constater la satisfaction des clients et leur affluence.
• Notant que les jeunes réseaux sont plus risqués que ceux qui se sont déjà établis depuis des années.
• Vous référant aux certifications et aux concours qu’une marque a remportés.
Vérifiez si celui-ci est très élevé. Si c’est le cas, cela signifie que les franchisés n’arrivent pas à rentabiliser leur investissement. Ils ne vont pas renouveler leur contrat de sitôt. Vous devez donc éviter ce genre de franchise.
Calculer la rentabilité d’une franchise vous permet de prendre la décision d’investir ou non dans l’acquisition d’un point de vente. Grâce à votre business plan, que vous effectuez avant la signature de votre contrat, vous pouvez déterminer la rentabilité financière et la rentabilité économique de l’enseigne.
Vous devez aussi connaître son seuil de rentabilité pour savoir si vous allez ou non faire des bénéfices.
Vous êtes obligés de publier le changement de dirigeant de votre entreprise dans un JAL pour :
– Rendre public le nom du nouveau dirigeant et les autres informations sur votre société.
– Signaler à vos clients, à vos partenaires et à vos fournisseurs les impacts que cette modification peut avoir sur le fonctionnement de votre établissement.
– Éviter de payer des dommages et intérêts liés à la non-publication de l’information pouvant porter préjudice à vos tiers et associés.
– Éviter que cet acte ne soit pas considéré comme nul.
La publication de l’annonce légale de changement de dirigeant concerne surtout les SARL, les EURL, les SAS et les SASU.
Vous devez respecter un formalisme particulier lors de la rédaction de l’annonce légale de changement de dirigeant. Pour une SARL ou une EURL, l’avis doit contenir :
– Les informations sur l’entreprise et ses caractéristiques : son nom, l’adresse de son siège social, son numéro SIREN, le montant de son capital social, sa forme juridique, etc.
– Les informations sur le nouveau dirigeant : son nom, son adresse, etc.
– La date de sa nomination ou de son entrée en fonction,
– L’identité de l’ancien dirigeant,
– La date à laquelle l’assemblée générale a pris la décision,
– Les données sur le greffe : la mention RCS et la ville du greffe d’immatriculation,
– La durée du mandat.
Pour une SASU ou une SAS, la composition de l’annonce légale de changement de dirigeant est la même, sauf la qualification de la direction qui est remplacée par » Président « . Et ce ne sont pas les associés qui décident le remplacement du dirigeant, mais un organe décisionnaire indiqué par les statuts. Le motif du changement y est aussi marqué.
Si vous souhaitez publier le changement du dirigeant de votre entreprise, vous devez choisir un journal d’annonces légales habilité. Pour ce faire, consultez la liste des supports habilités à faire des publications d’annonces légales. Vous pouvez avoir cette liste auprès du greffe du tribunal de commerce de votre entreprise. Sélectionnez ensuite un JAL dans le département du siège social de votre établissement. Pour ce qui est du coût de la publication, sachez que le prix des annonces légales des modifications au sein d’une société est forfaitaire.
Il n’y a pas beaucoup de règles qui encadrent la publication de l’annonce légale de changement de dirigeant. Pour gagner du temps, vous pouvez vous rendre sur https://www.annonces-legales.fr/ pour remplir le formulaire mis à votre disposition. Avec cette démarche en ligne, vous pouvez recevoir en seulement 1h une attestation de parution dans un JAL.
Une fois l’avis de changement du dirigeant de votre société publié, vous obtiendrez une attestation de parution dans laquelle s’affichent les informations de l’annonce légale. Vous devez la remettre avec votre dossier au greffe du tribunal de commerce. Vous pouvez conserver une copie de ce document. Vous pouvez en avoir besoin pour d’autres démarches administratives.
Le greffe du tribunal enregistra la modification. Il vous livrera par la suite un nouvel extrait Kbis à jour. Les coordonnées de votre nouveau dirigeant y figureront.
]]>Le bilan comptable :
– est un document synthétisant les enregistrements comptables réalisés par une entreprise durant une période précise. Il recense les actifs, les biens possédés par l’entreprise ; et les passifs, les ressources dont elle dispose.
– constitue la liasse fiscale d’une entreprise, au même titre que le compte de résultat et les annexes. Il est comme une photographie qui représente le patrimoine de l’entreprise à un instant T.
– est un tableau à 4 entrées : actif immobilisé, actif circulant, dettes à long terme, dettes à court terme.
Il y a plusieurs étapes à suivre pour réaliser le bilan comptable :
• Faire l’inventaire des stocks
L’entreprise doit réaliser en premier lieu, en fonction de son activité, un inventaire de ses prestations en cours, de ses produits en cours ou de ses marchandises en stock. Évaluer par la suite les stocks en clôture d’exercice dans la comptabilisation des stocks.
• Comptabiliser les produits et charges constatés d’avance
Cela concerne les produits et charges qui sont comptabilisés au cours d’un exercice, mais qui consiste le prochain. Il s’agit, par exemple, des dépenses d’assurance facturées à l’avance, des loyers, etc. Ces dépenses doivent être séparées pour que le compte ne concerne que l’exercice en question. Cette étape se nomme le « cut-off » ou la séparation des exercices.
• Comptabiliser les charges et produits à payer et à recevoir
Il s’agit des produits ou charges concernant l’exercice, mais dont les justificatifs ont été reçus durant l’exercice suivant. Il s’agit des factures non parvenues, des factures non établies, des charges à payer et des produits à recevoir.
• Comptabiliser les dotations aux amortissements d’immobilisations
Il s’agit de dresser un inventaire des immobilisations de l’entreprise et calculer leurs amortissements. Sortir du bilan les immobilisations vendues ou mises au rebut.
• Évaluer les éventuelles provisions
L’entreprise peut encourir divers risques liés au non-recouvrement de créances, aux garanties offertes aux clients, aux opérations de devises, etc. Ces risques doivent être pris en compte pour faire le bilan comptable. Ils doivent être évalués et chiffrés ; comptabiliser par la suite les provisions qui y sont appropriées.
• Réviser les comptes
Cette étape consiste à vérifier les soldes comptables dont :
– Les comptes clients et fournisseurs : vérifier les comptes clients créditeurs et les comptes fournisseurs débiteurs. Établir un livre auxiliaire des mouvements non lettrés.
– Les comptes de trésorerie : Établir un état de rapprochement bancaire pour vérifier que le solde comptable et le relevé bancaire sont les mêmes.
– Les comptes de charges et de produits : vérifier si la charge ou le produit se trouve dans le bon compte. Effectuer une comparaison des soldes avec ceux de l’exercice précédent, justifier les écarts importants.
– Les autres comptes : justifier les comptes sociaux, les comptes fiscaux, et les mouvements intervenus dans les comptes de capitaux propres.
• Documenter les travaux
À l’issue de ces travaux d’inventaire, de comptabilisation et de vérification, effectuer une documentation de ces derniers en classant les feuilles de travail.
• Éditer le bilan comptable
Le bilan comptable constitue la classe 1 à 5 des comptes annuels. Il peut être présenté sous 3 formes :
– La présentation simplifiée : pour les entreprises dont le bilan ne dépasse pas 4 000 000 €, le chiffre d’affaires n’excède pas 8 000 000€, ou le nombre de salariés est inférieur à 50.
– La présentation de base : pour les entreprises qui ne sont pas autorisées à utiliser le système abrégé.
– La présentation développée : c’est un document plus détaillé par rapport à l’obligation minimale. Toutes les entreprises sont libres de choisir cette option.
Un expert-comptable obtient ce titre après 5 ans d’études et un minimum de 3 ans d’expérience dans un cabinet d’expert-comptable. Ce parcours lui permet d’avoir des connaissances fiscales, juridiques, sociales et comptables solides pour aider les PTE, PME et grandes entreprises dans leur développement.
Vu les compétences d’un expert-comptable, n’est-il pas une perte de temps et d’argent pour une petite entreprise de l’engager ? Un simple comptable ne peut-il pas effectuer l’écriture comptable, gérer la trésorerie, etc. ? Sachez que les missions comptables ne tolèrent pas les approximations et encore moins les erreurs. Cela peut vous coûter cher. Ainsi, de la création au développement de votre entreprise, ne négligez pas le domaine de la comptabilité. Vous éviterez ainsi les coûts supplémentaires, les amendes, etc. que l’administration fiscale peut vous infliger. Collaborer avec une agence d’experts-comptables en vaut la chandelle, d’autant qu’en cas d’erreur, l’assurance responsabilité de l’agence est engagée.
Avec sa riche connaissance de la fiscalité, des textes juridiques, etc., cet expert comptable à Dijon est en mesure de prendre en charge diverses missions. Mais le plus important, c’est qu’il réduit considérablement les risques de contrôle fiscal. La seule présence d’un expert-comptable rassure l’administration fiscale. Quand bien même il y aura un contrôle, l’expert-comptable sera là pour assister votre entreprise tout au long de la procédure.
Fiscalité, gestion des dépenses et investissement en cohérence avec la trésorerie de l’entreprise, comptabilité générale, contrôle financier, etc. sont les points sur lesquels un expert-comptable peut aider une entreprise. Sa solide connaissance du domaine de la fiscalité peut aider à alléger et à simplifier le budget des entreprises. Il peut conseiller sur les dispositifs fiscaux, la gestion de la trésorerie, les « bonnes pratiques » à adopter pour réduire les charges de l’entreprise. Sur la base de ces critères, l’expert-comptable s’avère être un collaborateur qui peut rendre votre parcours entrepreneurial plus simple.
]]>Ce brevet peut être obtenu à partir de 13 ans. Proposée dans les écoles, l’obtention du brevet entre dans le cadre de l’initiation spéculative. Les élèves doivent passer par 5 épreuves pour valider le BIA. Chaque épreuve est notée par 20.
À noter que ce brevet n’est disponible que dans les écoles signataires d’une convention avec un hélico-club. Ainsi, les élèves qui obtiennent le brevet peuvent prétendre à des bourses offertes par l’hélico-club. La formation se déroule par initiation théorique et une initiation pratique. La première se déroule dans l’établissement scolaire tandis que la seconde est proposée par un club BIA.
Cette licence peut être offerte dès l’âge de 17 ans à condition d’avoir un certificat médical de classe 2 valide. Le détenteur de cette licence peut parfaitement transporter des passagers sans la moindre rémunération. Le pilote peut survoler la distance qui lui convient.
Il faut au minimum réaliser 45 h de vol pour passer l’examen d’obtention de la licence. Ces heures sont réparties en 25 h de vol en double commande. Il faut aussi réaliser 10 h de vol en solo sous une supervision. 5 h de ces vols doivent se faire en navigation en solo. L’élève doit alors voler sur une distance de 185 km et réaliser 2 atterrissages réussis sur 2 aérodromes différents.
Le CPL peut être obtenu à partir de 18 ans alors que l’ATPL est proposé aux jeunes de 21 ans au minimum. Un certificat médical de classe 1 est indispensable pour les deux licences. À cela s’ajoute une formation théorique validée par une organisation agréée.
Concernant les heures de vol, il faut réaliser 135h pour le CPL et 1000h pour l’ATPL. Vous pourriez passer les examens si vous remplissez ces conditions. Avec ces licences, vous aurez la possibilité de postuler comme pilote ou copilote dans le domaine aéronautique.
Les entreprises supervisent leurs activités externes à l’aide de ces logiciels. Ces derniers permettent en effet de gérer les équipes techniques qui effectuent des installations, des réparations ou une maintenance en dehors des locaux de l’entreprise. Celle-ci s’en sert, par exemple, pour planifier les missions de ces techniciens et pour suivre leur progression. Ces logiciels sont également utiles aux entreprises pour gérer les ressources matérielles indispensables à la réalisation de ces missions. Divalto weavy est un exemple de logiciel de gestion d’intervention des techniciens.
Un logiciel de gestion d’intervention des techniciens dispose de plusieurs fonctionnalités comme celles présentée en détail ici. Par exemple, le logiciel répartit automatiquement les tâches entre les techniciens. Il permet aux équipes sur le terrain d’être en contact permanent avec celles au bureau. Ces dernières communiquent en temps réel les nouvelles consignes à leurs collègues qui sont sur les sites d’intervention. Cette rapidité de communication est indispensable en cas d’urgence.
Cette fonctionnalité centralise les demandes d’intervention envoyées par les clients de l’entreprise à partir de différents canaux : depuis l’application mobile du logiciel, depuis l’espace client, par téléphone ou par courriel. Certains problèmes sont résolus par email ou au téléphone. D’autres nécessitent une intervention. Le logiciel va alors la créer.
Par ailleurs, cette fonctionnalité planifie les interventions des techniciens de l’entreprise. Pour réaliser cette planification, le logiciel analyse des ressources nécessaires à la réalisation de l’intervention. Il tient aussi compte des compétences que requiert l’intervention pour qu’elle soit un succès. C’est à partir de cette analyse que le logiciel peut déterminer le profil du technicien capable de mener à bien l’intervention. Le logiciel prend en considération la localisation de l’endroit où doit se dérouler l’intervention. Le logiciel est même en mesure d’établir le planning des équipes d’interventions et en assurer automatiquement le suivi. Enfin, le logiciel crée une vue cartographiée des endroits où des interventions doivent se dérouler.
La fonctionnalité notifie aux techniciens les interventions régulières qu’ils doivent réaliser chez les clients de l’entreprise. Cette option concerne uniquement les interventions contractuelles et celles prévues dans les garanties. Les techniciens arrivent chez le client de l’entreprise à la date et à l’heure prévue dans les contrats pour, par exemple, des travaux d’entretien ou de maintenance. Le logiciel est également capable d’établir un calendrier prévisionnel des interventions en se basant sur la fréquence des interventions qui ont lieu chez les différents clients.
Les logiciels de gestion d’intervention des techniciens améliorent la gestion des stocks. Ils indiquent à ses utilisateurs la quantité en temps réel du matériel ou des produits encore disponibles. L’entreprise évite ainsi les retards dans son planning d’intervention.
La possibilité de suivre le temps de travail de chaque technicien constitue un autre intérêt de ces logiciels. Le service des ressources humaines ou l’encadrement sont en mesure de contrôler le nombre d’heures que chaque technicien passe sur les sites d’intervention. Ces données permettent aux chefs d’entreprise de mettre en place des stratégies pour augmenter la productivité de leurs techniciens. Enfin, ces logiciels permettent une excellente gestion des données clientèles. Elle améliore ainsi la relation clientèle.
]]>Si vous aussi, vous avez décidez d’investir dans un espace coworking, sachez que le choix peut se relever un parcours de combattant, parce qu’il faut considérer plusieurs facteurs. En effet, le choix ne dépendra pas seulement de votre budget ni de vos envies et besoins, il faudra aussi prendre en compte les attentes des travailleurs en matière de coworking. Ainsi, vous devez d’abord identifier la nature de l’espace que vous voulez. Est-ce que vous préférez des bureaux à partager ou des bureaux individuels ? Est-ce que l’espace doit disposer d’une salle de réunion, d’un cyber café et d’une cafétéria ou est-ce que vous voulez une bibliothèque ?
Les besoins des travailleurs ne sont pas tous les mêmes, donc pour les attirer dans votre espace de coworking, vous devez essayer d’offrir le maximum de service et disposer de diverses installations haut de gamme. L’idéal est notamment d’investir dans un espace de coworking qui offre un vaste choix d’espaces permettant à chacun de trouver le confort pour travailler dans de bonnes conditions.
Une fois les besoins définis, vous devez penser à l’usage de l’espace. Puisqu’il s’agit d’un lieu de travail, si certains préfèrent y passer quelques heures seulement par semaine, d’autres pensent y aller au quotidien pour un usage à long terme. Donc, vous devez penser au besoin de chaque travailleur et aménager le lieu en fonction de cela. Déjà, il faudra équiper le lieu avec des matériels adaptés à un espace de coworking comme l’imprimante, des boites aux lettres individuelles, des vidéoprojecteurs, du Wi-Fi, des casiers, etc. Pour les travailleurs qui y travaillent tous les jours et sur le long terme, vous devez prévoir un service de domiciliation d’entreprise, une conciergerie, un standard téléphonique et une restauration. Sinon, pour compléter les services, vous pouvez proposer des cours de sport, des ateliers thématiques, etc. Vous pouvez après adapter le coût de location de l’espace de coworking en fonction des services et installations que vous porposez. Enfin, sachez qu’il est vraiment important de choisir un espace de coworking bien situé, facile d’accès et toujours disponible. Ainsi, les travailleurs pourront y accéder simplement même la nuit et le week-end quand ils en ont envie.
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