Pourquoi est-ce obligatoire ?

Vous êtes obligés de publier le changement de dirigeant de votre entreprise dans un JAL pour :
– Rendre public le nom du nouveau dirigeant et les autres informations sur votre société.
– Signaler à vos clients, à vos partenaires et à vos fournisseurs les impacts que cette modification peut avoir sur le fonctionnement de votre établissement.
– Éviter de payer des dommages et intérêts liés à la non-publication de l’information pouvant porter préjudice à vos tiers et associés.
– Éviter que cet acte ne soit pas considéré comme nul.

Comment publier l’annonce légale ?

La publication de l’annonce légale de changement de dirigeant concerne surtout les SARL, les EURL, les SAS et les SASU.

Comment rédiger l’annonce ?

Vous devez respecter un formalisme particulier lors de la rédaction de l’annonce légale de changement de dirigeant. Pour une SARL ou une EURL, l’avis doit contenir :
– Les informations sur l’entreprise et ses caractéristiques : son nom, l’adresse de son siège social, son numéro SIREN, le montant de son capital social, sa forme juridique, etc.
– Les informations sur le nouveau dirigeant : son nom, son adresse, etc.
– La date de sa nomination ou de son entrée en fonction,
– L’identité de l’ancien dirigeant,
– La date à laquelle l’assemblée générale a pris la décision,
– Les données sur le greffe : la mention RCS et la ville du greffe d’immatriculation,
– La durée du mandat.

Pour une SASU ou une SAS, la composition de l’annonce légale de changement de dirigeant est la même, sauf la qualification de la direction qui est remplacée par  » Président « . Et ce ne sont pas les associés qui décident le remplacement du dirigeant, mais un organe décisionnaire indiqué par les statuts. Le motif du changement y est aussi marqué.

Comment choisir le JAL ?

Si vous souhaitez publier le changement du dirigeant de votre entreprise, vous devez choisir un journal d’annonces légales habilité. Pour ce faire, consultez la liste des supports habilités à faire des publications d’annonces légales. Vous pouvez avoir cette liste auprès du greffe du tribunal de commerce de votre entreprise. Sélectionnez ensuite un JAL dans le département du siège social de votre établissement. Pour ce qui est du coût de la publication, sachez que le prix des annonces légales des modifications au sein d’une société est forfaitaire.

Comment faire une publication rapide de l’annonce ?

Il n’y a pas beaucoup de règles qui encadrent la publication de l’annonce légale de changement de dirigeant. Pour gagner du temps, vous pouvez vous rendre sur https://www.annonces-legales.fr/ pour remplir le formulaire mis à votre disposition. Avec cette démarche en ligne, vous pouvez recevoir en seulement 1h une attestation de parution dans un JAL.

Qu’est-ce qui se passe après la publication ?

Une fois l’avis de changement du dirigeant de votre société publié, vous obtiendrez une attestation de parution dans laquelle s’affichent les informations de l’annonce légale. Vous devez la remettre avec votre dossier au greffe du tribunal de commerce. Vous pouvez conserver une copie de ce document. Vous pouvez en avoir besoin pour d’autres démarches administratives.

Le greffe du tribunal enregistra la modification. Il vous livrera par la suite un nouvel extrait Kbis à jour. Les coordonnées de votre nouveau dirigeant y figureront.

Qu’est-ce qu’un bilan comptable ?

Le bilan comptable :
– est un document synthétisant les enregistrements comptables réalisés par une entreprise durant une période précise. Il recense les actifs, les biens possédés par l’entreprise ; et les passifs, les ressources dont elle dispose.
– constitue la liasse fiscale d’une entreprise, au même titre que le compte de résultat et les annexes. Il est comme une photographie qui représente le patrimoine de l’entreprise à un instant T.
– est un tableau à 4 entrées : actif immobilisé, actif circulant, dettes à long terme, dettes à court terme.

Comment établir un bilan comptable ?

Il y a plusieurs étapes à suivre pour réaliser le bilan comptable :
• Faire l’inventaire des stocks
L’entreprise doit réaliser en premier lieu, en fonction de son activité, un inventaire de ses prestations en cours, de ses produits en cours ou de ses marchandises en stock. Évaluer par la suite les stocks en clôture d’exercice dans la comptabilisation des stocks.

• Comptabiliser les produits et charges constatés d’avance
Cela concerne les produits et charges qui sont comptabilisés au cours d’un exercice, mais qui consiste le prochain. Il s’agit, par exemple, des dépenses d’assurance facturées à l’avance, des loyers, etc. Ces dépenses doivent être séparées pour que le compte ne concerne que l’exercice en question. Cette étape se nomme le « cut-off » ou la séparation des exercices.

• Comptabiliser les charges et produits à payer et à recevoir
Il s’agit des produits ou charges concernant l’exercice, mais dont les justificatifs ont été reçus durant l’exercice suivant. Il s’agit des factures non parvenues, des factures non établies, des charges à payer et des produits à recevoir.

• Comptabiliser les dotations aux amortissements d’immobilisations
Il s’agit de dresser un inventaire des immobilisations de l’entreprise et calculer leurs amortissements. Sortir du bilan les immobilisations vendues ou mises au rebut.

• Évaluer les éventuelles provisions
L’entreprise peut encourir divers risques liés au non-recouvrement de créances, aux garanties offertes aux clients, aux opérations de devises, etc. Ces risques doivent être pris en compte pour faire le bilan comptable. Ils doivent être évalués et chiffrés ; comptabiliser par la suite les provisions qui y sont appropriées.

• Réviser les comptes
Cette étape consiste à vérifier les soldes comptables dont :
– Les comptes clients et fournisseurs : vérifier les comptes clients créditeurs et les comptes fournisseurs débiteurs. Établir un livre auxiliaire des mouvements non lettrés.
– Les comptes de trésorerie : Établir un état de rapprochement bancaire pour vérifier que le solde comptable et le relevé bancaire sont les mêmes.
– Les comptes de charges et de produits : vérifier si la charge ou le produit se trouve dans le bon compte. Effectuer une comparaison des soldes avec ceux de l’exercice précédent, justifier les écarts importants.
– Les autres comptes : justifier les comptes sociaux, les comptes fiscaux, et les mouvements intervenus dans les comptes de capitaux propres.

• Documenter les travaux
À l’issue de ces travaux d’inventaire, de comptabilisation et de vérification, effectuer une documentation de ces derniers en classant les feuilles de travail.

• Éditer le bilan comptable
Le bilan comptable constitue la classe 1 à 5 des comptes annuels. Il peut être présenté sous 3 formes :
– La présentation simplifiée : pour les entreprises dont le bilan ne dépasse pas 4 000 000 €, le chiffre d’affaires n’excède pas 8 000 000€, ou le nombre de salariés est inférieur à 50.
– La présentation de base : pour les entreprises qui ne sont pas autorisées à utiliser le système abrégé.
– La présentation développée : c’est un document plus détaillé par rapport à l’obligation minimale. Toutes les entreprises sont libres de choisir cette option.

Pour éviter les risques financiers

Un expert-comptable obtient ce titre après 5 ans d’études et un minimum de 3 ans d’expérience dans un cabinet d’expert-comptable. Ce parcours lui permet d’avoir des connaissances fiscales, juridiques, sociales et comptables solides pour aider les PTE, PME et grandes entreprises dans leur développement.

Vu les compétences d’un expert-comptable, n’est-il pas une perte de temps et d’argent pour une petite entreprise de l’engager ? Un simple comptable ne peut-il pas effectuer l’écriture comptable, gérer la trésorerie, etc. ? Sachez que les missions comptables ne tolèrent pas les approximations et encore moins les erreurs. Cela peut vous coûter cher. Ainsi, de la création au développement de votre entreprise, ne négligez pas le domaine de la comptabilité. Vous éviterez ainsi les coûts supplémentaires, les amendes, etc. que l’administration fiscale peut vous infliger. Collaborer avec une agence d’experts-comptables en vaut la chandelle, d’autant qu’en cas d’erreur, l’assurance responsabilité de l’agence est engagée.

Pour éviter un contrôle fiscal

Avec sa riche connaissance de la fiscalité, des textes juridiques, etc., cet expert comptable à Dijon est en mesure de prendre en charge diverses missions. Mais le plus important, c’est qu’il réduit considérablement les risques de contrôle fiscal. La seule présence d’un expert-comptable rassure l’administration fiscale. Quand bien même il y aura un contrôle, l’expert-comptable sera là pour assister votre entreprise tout au long de la procédure.

Pour réduire les impôts et les charges

Fiscalité, gestion des dépenses et investissement en cohérence avec la trésorerie de l’entreprise, comptabilité générale, contrôle financier, etc. sont les points sur lesquels un expert-comptable peut aider une entreprise. Sa solide connaissance du domaine de la fiscalité peut aider à alléger et à simplifier le budget des entreprises. Il peut conseiller sur les dispositifs fiscaux, la gestion de la trésorerie, les « bonnes pratiques » à adopter pour réduire les charges de l’entreprise. Sur la base de ces critères, l’expert-comptable s’avère être un collaborateur qui peut rendre votre parcours entrepreneurial plus simple.

Les atouts du portage salarial

Ce qui est intéressant en portage salarial, c’est que vous n’avez pas à vous occuper des tâches administratives et juridiques, qui sont pourtant essentielles. C’est la société de portage salarial, tel que Cegelem, qui s’en charge. C’est également elle qui gère les questions comptables. Tout cela représente un gain de temps considérable et des sources de stress en moins pour vous. De plus, vous avez droit à la sécurité et à la régularité du salaire. Même si le client n’a pas encore payé la facture, vous percevez vos rémunérations à temps, chaque mois. Vous êtes payé dès le premier mois. Par ailleurs, vous bénéficiez des avantages dus aux salariés tels que la retraite, le chômage, la mutuelle, la prévoyance, etc. Enfin, vous tirez profit du réseau de la société de portage : vous avez toute latitude pour entrer en contact avec différents salariés portés. Vous ne risquez donc pas l’isolement.

D’autres points forts du portage salarial

Il existe d’autres avantages du portage salarial, notamment le fait de gagner en crédibilité. Pour cela, vous devez choisir avec soin la société de portage salarial avec laquelle collaborer. S’il s’agit d’une société reconnue et ayant une excellente réputation, vous serez plus facilement repéré par les grandes entreprises. Durant l’entretien, vous allez les convaincre de vous recruter sans trop de difficulté. Elles n’auront pas de mal à vous faire confiance, ce qui est excellent pour votre activité.
Les formations sont un autre point important. Vous y aurez droit, au même titre que les salariés, et de façon régulière. Ces formations vous permettront de développer vos compétences, ce qui contribuera à la pérennisation de votre activité. En effet, vous serez mieux équipé pour mener à bien chacune de vos missions. En plus de tout cela, un interlocuteur vous apportera un accompagnement en permanence. Ce professionnel est là pour répondre à vos éventuelles questions. Il est indispensable pour vous guider dans le choix de vos missions, vous conseiller et vous proposer différentes alternatives.

Quelques inconvénients du portage salarial

Il existe des aspects du portage salarial qui peuvent être des contraintes. Ce ne sont pas des inconvénients au sens plein du terme, plutôt des conditions pouvant être perçues comme des obstacles. D’abord, l’accès au portage salarial n’est pas donné à tous. Si vous êtes dans le commerce ou si vous envisagez des activités commerciales, vous n’êtes pas éligible au portage salarial. Les conditions pour recourir au salarié porté sont très strictes, selon l’ordonnance du 2 avril 2015.
Cependant, de nombreux domaines d’activité sont possibles, rassurez-vous. Il y a le digital, l’ingénierie, la formation, la communication, la traduction, les ressources humaines, le management, le marketing, l’informatique, l’audit, les métiers du conseil, la médecine, avocat, pharmacien, coiffeur, etc. Enfin, si vous avez envie de tester vos aptitudes à être en freelance ou de lancer une nouvelle activité sans prendre trop de risque, le portage salarial est pour vous. C’est une formule associant la sécurité du salarié et la liberté de l’entrepreneur.

Le concept de base de l’ERP

La technologie informatique fait des miracles pour tous les domaines. La création de nouveaux outils est une idée novatrice qui ne cesse de s’agrandir et d’évoluer. Le but principal de ce concept est de pouvoir aider et de faciliter le travail de tout un chacun. L’ERP ou Enterprise Resource Planning est aujourd’hui un outil indispensable pour une société. Certaines personnes l’appellent également PGI ou Progiciel de Gestion intégrée. Ce logiciel a plusieurs rôles dont la gestion, comme son nom l’indique, la comptabilité, la finance et bien d’autres tâches managériales. En gros, l’ERP ou PGI accomplit à lui tout seul les missions de toutes les branches dans une entreprise.

L’utilisation principale de l’ERP ou PGI

Puisque ce logiciel est sans conteste le meilleur ami de la société, l’avoir est une chance inouïe. L’ERP est surtout utilisé par les sociétés qui veulent booster leurs revenus et accentuer la productivité de leurs agents. Cet outil permet d’améliorer le travail dans plusieurs domaines. Sur le plan financier, le logiciel gère la facturation et la trésorerie de l’entreprise. Son efficacité est deux fois plus grande puisqu’il gère également la partie RH (Ressources Humaines) incluant la distribution de paie des salariés. En ce qui concerne la logistique, l’ERP est d’une très grande utilité pour gérer les stocks, le transport et l’aménagement des produits. En tant que gestionnaire intelligent, le PGI scrute les potentiels clients sur tous les domaines d’expertise. La fidélisation, la recherche de nouveaux acquéreurs et le suivi des transactions sont des jeux d’enfants pour le logiciel. Bref, l’ERP détient un rôle crucial dans l’élaboration, la contribution et l’avancement des projets et surtout de la société.

Un excellent taux d’emploi

L’économie française a été durement touchée par la crise sanitaire. Avec plus de 10 millions de personnes en arrêt-maladie, on s’attendait à ce que l’emploi tombe à des niveaux jamais vus depuis la Seconde Guerre mondiale. Or, cela ne s’est pas produit.

Au contraire, l’emploi a augmenté de 1,8 % au premier trimestre (par rapport à l’année précédente). Cette augmentation est partiellement due au fait que les travailleurs temporaires ont été inclus dans ce calcul pour la première fois et que les employés ont pu continuer leur travail depuis leur domicile.

Le gouvernement français a aussi lancé un certain nombre d’initiatives pour créer des emplois. Par exemple, il a mis en avant des mesures telles que la réduction de l’impôt sur les sociétés et la réduction des charges sociales pour les entreprises qui embauchent des jeunes travailleurs.

Certains secteurs encore en difficulté

Bien que certaines entreprises aient tiré bénéfice de la crise sanitaire, d’autres tentent toujours de redémarrer leur activité, tel est le cas des firmes dans le secteur du tourisme. Ces dernières doivent adopter des stratégies pour gagner la confiance de la clientèle. En effet, le nombre de touristes a diminué consécutivement suite à la crise sanitaire.

Ces entreprises en difficulté ne peuvent pas non plus se permettre de dépenser de grosses sommes d’argent et d’investir celles-ci dans de grands projets. Elles doivent se concentrer sur la fabrication de produits et sur des projets de petite envergure pour éviter de tout perdre à nouveau.

Par conséquent, les entreprises ne sont plus aussi rentables qu’avant. Elles sont donc dans la contrainte de réduire les recrutements, leur personnel et le nombre d’heures de travail par semaine. Un bon nombre d’entreprises tiennent encore cette démarche jusqu’à ce jour. Ce ne sont pas forcément de bonnes nouvelles.

Pour information : il s’avère que 32 184 entreprises sont en difficulté cette année. Comparé aux deux dernières années, ce chiffre a diminué de 38 %.

Une baisse de taux de création d’entreprise

Selon des analyses effectuées, le taux de création d’entreprise a largement diminué. Le nombre total d’entreprises créées par an est passé d’environ 2 millions au début des années 1990 à un peu plus d’un million aujourd’hui. Cela est dû au fait que les firmes ne peuvent pas étendre leurs activités assez rapidement.

Un tel projet demande un investissement assez important et du temps pour construire de nouvelles installations et les mettre à niveau avec les technologies modernes. Malgré cela, certains entrepreneurs décident toujours de se lancer afin de favoriser la création d’emploi. Ils sont encore peu nombreux aujourd’hui.

Cette tendance est inquiétante, car elle signifie que moins de personnes sont employées par les nouvelles entreprises. Cela peut avoir largement des effets négatifs sur la croissance économique en France et dans d’autres pays d’Europe.

Le nombre d’associés dans une entreprise : un facteur déterminant

Le statut juridique que doit s’attribuer une entreprise dépend du nombre d’associés liés au projet. En effet, les avantages pour l’entreprise varient selon ce statut.

Il se peut qu’une entreprise soit montée par une seule personne. Il est aussi plus courant de voir plusieurs associés diriger une seule entreprise. Dans ce second cas, la structure sociétale est mise en place. Ainsi, ce qui importe, c’est de trouver le statut juridique qui convient le plus aux objectifs de l’entreprise.

Pour ceux qui veulent travailler tout seul, les statuts juridiques qui vont leur être proposés sont l’EI ou Entreprise Individuelle, l’EIRL ou l’Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée, le SASU ou la Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle et l’EURL ou Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée. Les deux derniers statuts permettent à une société d’intégrer ultérieurement des filiales, sans pour autant devoir adopter un nouveau statut juridique.

Si l’entreprise est sous la tutelle de plusieurs associés, les statuts juridiques qui conviennent sont la SARL ou Société A Responsabilité Limitée, la SA ou Société Anonyme, la SAS ou Société par Actions Simplifiées, la SNC ou Société en Nom Collectif et la SEL ou Société d’Exercice Libéral.

Les statuts juridiques et le patrimoine du porteur de projet

Normalement, le patrimoine privé de l’entrepreneur n’est pas pris en compte lorsqu’il monte un projet. Toutefois, il est toujours plus que judicieux de choisir un statut juridique permettant de séparer le bien personnel de celui de l’entreprise en cas de soucis du côté professionnel. Pour les entrepreneurs qui montent seuls leur projet, ils ont le choix entre l’EIRL et l’EI.

Pour la structure sociétale, les statuts juridiques qui conviennent sont la SARL, la SAS, la SASU ou encore la SA. Il est important de noter que la responsabilité doit être limitée à la valeur des apports de chaque associé. En effet, la structure de la société ne doit pas reposer sur la responsabilité des associés d’une manière indéfinie, il doit y avoir une limite.

Le régime fiscal imposé à l’entreprise varie selon le statut juridique

Le régime fiscal est propre à chaque statut juridique choisi pour une entreprise. Il est rare d’arriver à changer le mode d’imposition sur les bénéfices, c’est pour cela qu’il est important de bien étudier le choix du statut dès le début.

L’impôt sur le revenu est le premier mode d’imposition sur les bénéfices. Dans une entreprise, cet impôt doit être payé par tous les associés. Le chiffre d’affaires et les revenus de l’entreprise déterminent l’imposition.

Les catégories sur lesquelles sont classés les revenus s’appellent BIC ou Bénéfices Industriels et Commerciaux, BA pour les Bénéfices Agricoles et BNC ou Bénéfices Non Commerciaux. L’EURL, l’EI, l’EIRL, la SNC sont les statuts juridiques soumis à l’impôt sur le revenu.

L’impôt sur les sociétés est payé par la société elle-même. Il est à savoir que cet impôt s’élève à 25 % du taux de droit commun avec un taux réduit à 15 %. Les statuts juridiques qui y sont soumis sont l’EURL, la SARL, la SAS ou SASU et la SA.

Nouveaux entrepreneurs ou entrepreneurs aguerris, les avantages d’intégrer un Business club

Si vous débutez dans l’entrepreneuriat, un accompagnement n’est pas de trop. L’accompagnement n’est pas accordé pour quelques semaines ou mois. Parfois, vous êtes accompagné pendant de longues années, tant que vous êtes demandeur. Si vous venez de créer votre entreprise, peut-être qu’un prêt vous aidera à bien démarrer votre activité.

Il existe des clubs qui aident à financer un projet et qui apportent conseils et expertise pour le développement d’une entreprise. Êtes-vous à la tête d’un modeste commerce familial ou d’une startup qui se veut d’envergure ? Vous trouverez le soutien nécessaire au sein d’un Business club. Mais même déjà bien installé, il y a des avantages à devenir membre d’un réseau d’affaires. Certains clubs sont davantage axés sur le renforcement des compétences, notamment des dirigeants.

C’est lorsque les chefs d’entreprise évoluent dans le bon sens que leur entreprise peut évoluer positivement, c’est un fait. Ne présumez jamais que vous pouvez réussir tout seul et que vous n’avez besoin de personne pour progresser. De plus, intégrer un Business club, ce n’est pas uniquement pour recevoir quelque chose des autres. C’est aussi partager vos connaissances et expériences.

C’est d’ailleurs l’une des politiques de certains clubs, chacun doit prendre la parole pour apporter un plus aux autres membres. Peut-être que vous ne pouvez pas honorer tous les rendez-vous et les rencontres organisés. Cependant, vous devez vous engager à consacrer au moins un jour par mois à votre club.

Ce que vous offre un Business club à Toulon

Une présence digitale est aujourd’hui incontournable pour toute entreprise qui souhaite se développer. Vous possédez sans doute un site web, des comptes sur des médias sociaux, des blogs, etc. Mais cela s’avère insuffisant face à une concurrence de plus en plus forte. L’arrivée en masse de nouveaux produits sur le marché peut rapidement transformer les vôtres en antiquités. C’est aussi pour ces raisons qu’intégrer un réseau d’affaires à Toulon est capital. De nos jours, être accompagné est indispensable mais c’est un luxe que vous pouvez vous payer.

Pour cela, il faut juste devenir membre d’un réseau d’affaires. Saviez-vous qu’il y en a plus de 10000 dans toute la France actuellement ? On peut prédire, sans risque de se tromper, qu’il y en aura d’autres qui verront le jour incessamment. À Toulon, ces réseaux se sont multipliés ces dernières années, on en compte autour de 40 en ce moment. Dans chacun d’eux, vous retrouvez une convivialité presque familiale.

Ces clubs vous permettent de sortir de la solitude, de faire des rencontres intéressantes, de créer des liens avec des experts. Quelquefois, des déjeuners-débats sont organisés et des acteurs majeurs de l’économie sont invités. Vous pouvez poser des questions, avancer vos idées, les défendre, etc. Mutualiser le savoir et le savoir-faire des entrepreneurs membres, voilà l’un des objectifs d’un Business club à Toulon.

Quelles sont les démarches à faire pour devenir membre d’un Business club à Toulon ?

Il existe plusieurs business clubs à Toulon et si vous voulez devenir membre de l’un d’entre eux, voici les informations utiles. D’abord, sachez que chaque réseau d’affaires a sa propre personnalité et sa façon de fonctionner. Bien sûr, les objectifs sont les mêmes pour tous mais chaque Business Club est unique. Certains regroupent les professionnels d’une région tandis que d’autres réunissent les dirigeants d’un même secteur.

Il y en a qui se rassemblent autour de valeurs fortes ou d’un thème. Autre information pour devenir membre, vous devez payer une cotisation annuelle, dont le montant diffère d’un réseau à un autre. Mais avant tout, vous devez contacter un membre du bureau et lui soumettre votre candidature. Un Business club à Toulon peut refuser votre adhésion.

Chaque réseau d’affaires est libre d’établir ses propres critères de sélection. Avant de demander à intégrer un Business club, renseignez-vous soigneusement sur tous les réseaux présents à Toulon. Réfléchissez à ce que vous recherchez, à ce que vous pouvez apporter. Demandez aux autres chefs d’entreprise de votre connaissance de vous parler des avantages de leur club.

Cadeaux originaux qui ne vous ruinent pas

Soyez original, donnez des cadeaux originaux, là, vous pouvez être sûr de faire des présents dont ils se souviendront longtemps. Et naturellement, faites en sorte que le cadeau soit d’abord source de plaisir. Parce que s’il est juste original mais ne plaît pas ou bien si votre collègue n’en voit pas l’utilité, votre cadeau ne sert pas à grand-chose et sera vite oublié. Avec les collègues de travail qui sont devenus proches avec vous, vous pouvez vous permettre des petits cadeaux amusants, rigolos et surtout peu coûteux. Il est possible d’offrir un joli présent spécial sans vous ruiner.

Ces petites choses qui réchauffent le cœur

Pensez à l’effet que fera un gentil petit mug où est inscrit le mot « super collègue » sur votre partenaire de travail. Cela ne peut que le toucher. Et à chaque fois qu’il va boire son café ou son thé avec, il aura systématiquement une pensée pour vous, et la vue de ce mot lui arrachera peut-être un sourire de temps en temps. Et que diriez-vous d’un hamac repose-pieds que votre collègue installera au-dessous de son bureau ? C’est un cadeau qui est très utile car s’il ne cesse de rêver de soleil, mer et cocotier, voilà de quoi donner un sympathique air de vacances dans son bureau, il appréciera sans doute.

Des cadeaux plus ou moins personnalisés

Les cadeaux, lorsqu’on les achète en pensant à la personne à qui on veut les donner, c’est toujours mieux et la personne qui les reçoit le sent et forcément en sera touchée. Votre collègue est-il un accro aux réseaux sociaux ? Pourquoi ne pas lui offrir un tampon encreur like et dislike ? Pour être amusant, ça l’est sûrement, et pour être original, ça l’est aussi. Un cadeau qui pourrait être pratique et pour lequel on vous remerciera chaudement, c’est un mini-aspirateur pour clavier. Aspiré en un clin d’oeil toutes les miettes accumulées sous les touches, ça sert ce cadeau !

Un peu de fantaisie dans tout ça…

Avez-vous déjà songé à offrir une poubelle à votre collègue ? Ce sera peut-être une bonne idée si vous voulez l’encourager à pratiquer un sport. La poubelle se transforme alors en panier de basket improvisé ! Un simple support de tasse peut également être offert, un modèle qui s’accroche au bureau pour réduire les risques de renverser votre café sur votre table de travail ou sur vos précieux dossiers. Idéal notamment si votre collègue est un peu gauche mais doté d’un super sens de l’humour.

China National Coal Group ou la CNCG

C’est la plus grande entreprise productrice de charbon dans le monde. Elle émet plus de 14 % de gaz à effet de serre d’où 3 809 millions de tonnes de CO2 dans l’année. Ce chiffre lui place alors à la tête de cette liste. Non seulement elle est responsable du plus grand pourcentage d’émission de gaz polluant, mais elle est aussi funeste, car près de 900 personnes meurent chaque année dans les mines.

Saudi Aramco

La compagnie nationale Saoudienne Saudi Aramco qui s’affirme être la première entreprise pétrolière du monde tenant ainsi la deuxième place dans cette liste. Elle est responsable de plus de 4 % des émissions de CO2 et de méthane dans le monde et pense très peu à l’utilisation des énergies renouvelables.

Gazprom

C’est la plus grande industrie européenne du gaz naturel, car elle contrôle 16 % de la production mondiale du gaz naturel. Cette entreprise est responsable des 3,91 % d’émission de CO2 dans le monde. De plus, elle a souvent été sanctionnée pour avoir évacué du pétrole dans les rivières.

National Iranian Oil

C’est une entreprise très puissante dans le pays de l’Iran. Elle possède toutes les réserves d’hydrocarbures et demeure à être la seule productrice et distributrice de pétrole et de gaz dans tout le pays. Cette entreprise émet près de 2,28 % de CO2 à l’échelle mondiale. Ce taux de pollution élevé est dû à leur production titanesque de pétrole qui s’élève auprès de 570 milliards de barils.